Une femme seule. 


Une scène miroir de la salle. Inoccupée.

Une scène qui rappelle les lieux sacrés, les lieux de pouvoir et de justice.


Un monde clos, loin des rumeurs de la ville.


En quelque sorte, un écrin dévoyé par la simple présence de Marie.


Un lieu qui appelle la retenue, bousculé par les vociférations.


Une femme seule, pas tout à fait.


Dans l’ombre, d’autres femmes se font entendre : elles chantent la même histoire.

Note de Mise en scène par Marc-Ange Sanz

Stabat Mater

d’Antonio Tarantino